Répondant à une question sur « la généralisation des bourses universitaires », posée par le groupe du Rassemblement National des Indépendants, Abdellatif Miraoui a toutefois admis qu’il reste beaucoup à faire pour traiter deux questions : les bourses et les résidences universitaires, affirmant qu’un effort particulier a été fourni de la part du gouvernement et du ministère de l’Economie et des Finances pour atteindre jusqu’à ce jour le nombre de 421.000 bourses.
En outre, Miraoui a expliqué que ce chiffre est appelé à être porté à au moins 600.000 à l’horizon 2030, dans l’hypothèse ou le nombre des étudiants reste stable.
Le ministre a précisé, par ailleurs, que le budget alloué aux bourses s’est chiffré à 2.5 milliards de dirhams, alors que celui consacré au secteur de l’enseignement supérieur était de 14 milliards de dirhams, contre 15 milliards de dirhams cette année.
Le ministre a également indiqué que le taux de couverture enregistré cette année est de 76% sur le plan national, contre les 73% durant les quatre dernières années. Il a relevé ainsi que plusieurs provinces sont totalement couvertes.
Sur la généralisation des bourses d’enseignement supérieur…
La « généralisation » des bourses d’enseignement supérieur, doit faire l’objet d’une mûre réflexion, a-t-il dit, sachant que si la généralisation est comprise dans son sens le plus large, à savoir l’octroi de bourses à tous les étudiants de l’enseignement supérieur, tel n’est pas son avis.
Miraoui a été catégorique à ce propos :« les bourses ne peuvent pas être systématiquement octroyées à toutes les catégories d’étudiants actuellement au nombre de 1 million et 240.000 étudiants dans les différentes institutions et filières ».
Cependant, a-t-il expliqué, « je suis d’accord sur le fait que ces bourses doivent être octroyées à un nombre plus large d’étudiants, à la condition que leur situation sociale le justifie ».
Il a de même relevé que « le nombre total des bourses universitaires ne dépassait pas les 380.000 avant l’arrivée du ce gouvernement », et que « cette année, nous avons accordé 20.000 bourses supplémentaires, avec une dotation en augmentation de 200 millions de dirhams ».
En outre, Miraoui a expliqué que ce chiffre est appelé à être porté à au moins 600.000 à l’horizon 2030, dans l’hypothèse ou le nombre des étudiants reste stable.
Le ministre a précisé, par ailleurs, que le budget alloué aux bourses s’est chiffré à 2.5 milliards de dirhams, alors que celui consacré au secteur de l’enseignement supérieur était de 14 milliards de dirhams, contre 15 milliards de dirhams cette année.
Le ministre a également indiqué que le taux de couverture enregistré cette année est de 76% sur le plan national, contre les 73% durant les quatre dernières années. Il a relevé ainsi que plusieurs provinces sont totalement couvertes.
Sur la généralisation des bourses d’enseignement supérieur…
La « généralisation » des bourses d’enseignement supérieur, doit faire l’objet d’une mûre réflexion, a-t-il dit, sachant que si la généralisation est comprise dans son sens le plus large, à savoir l’octroi de bourses à tous les étudiants de l’enseignement supérieur, tel n’est pas son avis.
Miraoui a été catégorique à ce propos :« les bourses ne peuvent pas être systématiquement octroyées à toutes les catégories d’étudiants actuellement au nombre de 1 million et 240.000 étudiants dans les différentes institutions et filières ».
Cependant, a-t-il expliqué, « je suis d’accord sur le fait que ces bourses doivent être octroyées à un nombre plus large d’étudiants, à la condition que leur situation sociale le justifie ».
Il a de même relevé que « le nombre total des bourses universitaires ne dépassait pas les 380.000 avant l’arrivée du ce gouvernement », et que « cette année, nous avons accordé 20.000 bourses supplémentaires, avec une dotation en augmentation de 200 millions de dirhams ».
